27 janvier 2009
picotements
Des jours comme ça. Un peu mornes mais rien d'extraordinaire. Un jour à sécher les cours et à se laisser rattraper par l'ennui. Un jour cèder au désir de l'aiguille sur la peau (celle de la machine à tatouer cette fois, hein).
Alors je me gribouille sur le corps et le crépitement de la machine conjure dans le sang et l'encre un peu du désordre qui règne à l'interieur.
Donc voilà je m'orne désormais d'un gribouilli suppléméntaire.
Non je ne le montre pas.
Plus tard. Si j'assume.
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